Valdunes: histoire d’une entreprise stratégique avec des salariés sur siège éjectable
Le 4 mai dernier, l’unique actionnaire chinois de Valdunes annonce mettre fin aux financements dans les usines de Trith-Saint Léger (Valenciennes) et Leffrinckoucke (Dunkerque). Les salariés débrayent immédiatement et engagent un blocage des usines. Lundi 22 mai, un accord a été trouvé entre la CGT et la direction. Les 345 salariés ont retrouvé leur poste de travail mardi matin, après avoir obtenu une prime de 1050 euros par mois durant les 4 mois à venir, ainsi que le paiement des dix jours de grève.